Original contemporary creations by Phi-Artiste
As Phi-Artist-Painter, I devote myself to the art of portraiture, using the technique of oil painting, which offers the possibility of working on details meticulously, creating effects of light and texture with exceptional precision and realism. The modulations and flexibility of oil allow me to capture the essence and character of each portrait, whether of loved ones, animals or everyday companions. My work is produced on carefully chosen and prepared stretchers, guaranteeing lasting quality. I strive to freeze the moment, to preciously preserve the emotions and personal stories that inhabit my models. As a portrait painter, my aim is also to put myself at your service, to create works that resonate with your experience, that tell your story, and that, in turn, encourage others to revisit theirs.
Portraits: eternity before us

Un matin d’été, dans le Sud. Il est très tôt, le soleil envahit la cuisine. L’enfant est déjà là, le visage ébloui tant la lumière est forte. Accoudé au bar, grimaçant. La glace à la framboise n’apaise pas la douleur, elle coule dans la gorge rouge. L’arôme, le sucre, le distraient un peu. Il vient d’être opéré. Il a mal, très mal. Comme artiste, cet instant et cette lumière m’interpellent. Palette de jaunes, de roses et d’ocres. Rouge cramoisi des lèvres.


Peindre un bébé... quelle idée. Au moment de le faire, cela m’a semblé étrange, sans doute parce que je n’ai pas souvenir d’en avoir vus beaucoup dans les musées. Le bébé est un non sujet. Intéressant ! Et pourquoi donc ? Ses expressions et ses postures sont pourtant variées, explicites, paroxystiques parfois. D’ailleurs, j’ai eu du mal à traduire ses émotions ici. Est-ce qu’il rit ou est-ce qu’il crie ? La réponse en dans le titre. C’est un bébé définitivement rieur, moqueur et joueur.

Un matin d’été, dans le Sud. Il est très tôt, le soleil envahit la cuisine. L’enfant est déjà là, le visage ébloui tant la lumière est forte. Accoudé au bar, grimaçant. La glace à la framboise n’apaise pas la douleur, elle coule dans la gorge rouge. L’arôme, le sucre, le distraient un peu. Il vient d’être opéré. Il a mal, très mal. Comme artiste, cet instant et cette lumière m’interpellent. Palette de jaunes, de roses et d’ocres. Rouge cramoisi des lèvres.
Landscapes and animal world

100 x 80 cm. « Prélude /Fresh Hélicoïdal Flux» est la première pièce d’un triptyque intitulé «Chaos». Que signifie «naître au monde» ? Apparaître malgré soi en un lieu, dans un environnement «naturel»? Il y a quelques siècles de cela, les Anciens questionnaient déjà la «nature de la Nature », les éléments la composant, l’Eau, la Terre, le Feu, l’Air, et au coeur de ce Chaos créateur, la place des êtres animés.

Les penseurs Chinois de l’époque des Shang (il y a environ 3500 ans) exploraient déjà, à côté du Yin et du yang, les valeurs du Wǔxíng (les 5 éléments composant l’univers - l’eau, le feu, le bois, le métal, la terre) associés au processus cyclique de la naissance de la vie, de son acmé, de son extinction, puis de sa renaissance.


100 x 80 cm. « Prélude /Fresh Hélicoïdal Flux» est la première pièce d’un triptyque intitulé «Chaos». Que signifie «naître au monde» ? Apparaître malgré soi en un lieu, dans un environnement «naturel»? Il y a quelques siècles de cela, les Anciens questionnaient déjà la «nature de la Nature », les éléments la composant, l’Eau, la Terre, le Feu, l’Air, et au coeur de ce Chaos créateur, la place des êtres animés.
Portraits animaliers

Dans cette peinture, j’ai souhaité mettre à l’honneur un portrait d’oiseau, une créature pour le moins étrange autrement appelée le « Grand Ibijau » en français - The Great Potoo » en anglais. En le peignant, il m’a fait penser à la comédie culte de Blake Edwards avec Peter Seller’s - The Party, en particulier à l’épisode du perroquet, sur fond d’esthétique rétro et d’une musique jazzy évoquant un monde et une société déconcertante.

Je suis Thorlak, Dieu des Oasis. Je ne suis pas n'importe quel chien, du moins pas celui qui passe son temps à fuir son jardin et à rêver d'une improbable odeur de gibier. Je suis tout le contraire. Je suis le chien qui entre dans les maisons, par tous les moyens, parce que j'ai besoin d'étendre mon territoire et que les humains me distraient. Ici, mon maître m'a peint dans ma cuisine. Je suis assis là, très attentif, pour le moins sournois, au cas où je pourrais attraper quelques victuailles.


Dans cette peinture, j’ai souhaité mettre à l’honneur un portrait d’oiseau, une créature pour le moins étrange autrement appelée le « Grand Ibijau » en français - The Great Potoo » en anglais. En le peignant, il m’a fait penser à la comédie culte de Blake Edwards avec Peter Seller’s - The Party, en particulier à l’épisode du perroquet, sur fond d’esthétique rétro et d’une musique jazzy évoquant un monde et une société déconcertante.